Sud américaines,
au fin fond des favelas
et qui portent à 15 ans à peine
leurs enfants à bout de bras
aux femmes africaines
dont rien ne gache la joie
et planter dans la terre une graine,
qui jamais ne poussera
elles ont,en elles comme un don!
qui force le respect qui force le pardon!
révoltés indiennes,
sur les trace d'Indira
bien plus loin les mots vous emmenent,
que toutes les armes de combat
merci d'etre ce qu'on n'sera jamais!
et pourtant on se croit parfait!
mais c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
merci d'etre ce qu'on n'sera jamais
et de nous aimer tels qu'on est
car c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
aux ames malaisiennes
mais l'ecole n'est pas pour toi
pourtant tu demeure la gardiennes,
de tes fils qui font la loi
et tellement d'autres terriennes
à qui on laisse pas le choiiix
et quand ma parole reste veine
si je peux donner ma voix
elles font,des preuves d'abandons
qui force le respect
qui force le pardon
merci d'etre ce qu'on n'sera jamais!
et pourtant on se croit parfait!
mais c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
merci d'etre ce qu'on n'fera jamais
et de nous aimer tels qu'on est
car c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
merci d'etre ce qu'on n'fera jamais
eh ehh, oh ooh,oh ooh
merci d'etre ce qu'on n'sera jamais!
et pourtant on se croit parfait!
c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
nord ou sud américaines
nigériennes ou malaisiennes
des casba aux favelas
si je peux etre une loii
merci d'etre ce qu'on n'sera jamais!
et pourtant on se croit parfait!
mais c'est pas les hommes qui mènent le monde
non c'est pas les hommes qui mènent le monde
merci d'etre ce qu'on n'fera jamais
et de nous aimer tels qu'on est
merci,d'etre
merci d'etre.